Isabelle Fauquez, une artiste poétique

Isabelle Fauquez vit à Paris.
Elle peint sur papier et sur toiles les évocations de son monde onirique et précieux.
Après avoir mené une carrière dans la mode et la Haute-couture, où elle créait des broderies et des tissus peints, Isabelle Fauquez a orienté sa carrière depuis 2016 vers la peinture à l’huile et le dessin. Élève de François Legrand pour laquelle elle voue une admiration sincère, Isabelle a suivi ses cours et s’est formée à l’exercice du portrait à l’huile.
En prenant des libertés avec le sujet elle s’est éloigné de la figuration pour exprimer la poésie des accidents et la liberté que donne le dérapage de la matière.

Les oeuvres

Peinture à l'huile

En suivant l’enseignement classique de la peinture à l’huile je prends des libertés avec la matière.

Après avoir construit une peinture, je travaille à la dé-construire pour laisser simplement l’émotion d’une trace sur la toile.
Beaucoup de nus sont elliptiques, car, c’est davantage l’idée du nu qui m’intéresse plus que d’en rendre la réalité même.
Cette impression de « trace » est ma signature.. j’y reviens toujours, malgré moi.

Dessins

Tantôt de facture classique, en travaillant avec le fusain ou l’encre de chine, tantôt de façon expérimentale en jouant avec les traces, je travaille toujours le dessin parallèlement à la peinture à l’huile.

Il s’agit d’un exercice dont j’ai besoin comme le pianiste fait ses gammes.

Sculptures

J’aime le travail de la sculpture en utilisant des matériaux qui, à priori, ne lui sont pas destinés.
Je crée des rivières de cailloux en façonnant les pierres dans le papier de soie, je coule des clous dans la poudre de marbre et je réalise des météorites avec le tulle trempé dans la résine.
Cette activité parfois se croise avec celle de la peinture, lorsque je crée « les nus à la plage » ou « les rochers »façonnés dans le papier de soie que j’ai peint à l’huile et monté sur toile.

Gravures

C’est en voyant les gravures sur bois de Munch que j’ai ressenti le désir de m’initier à la gravure.
Au-delà de l’exercice périlleux qui consiste à travailler le motif inversé afin qu’il soit restitué à l’endroit lors de l’impression, l’acte même de graver est un vrai plaisir et une ascèse.
Graver est fatal, on n’a pas le droit à l’erreur. C’est cette exigence qui nous porte et nous libère.

L'atelier

Je vais régulièrement en atelier collectif travailler les nus et le modèle vivant.

C’est l’occasion de rencontrer d’autres artistes et de confronter nos dessins ou nos peintures.

Le contact avec les autres artistes est très enrichissant car le travail de peintre est un travail solitaire.

Lorsque je réalise une toile plus intimiste ou une commande, je travaille chez moi pour les petits formats ou in situ lorsqu’il s’agit de commande de paysages ou de maisons de famille.

Les expositions

Il y a une grande tradition pour les salons en France…

Qu’il s’agisse du salon d’Automne, du salon des indépendants, du salon « Comparaisons »… Tous les salons sont ancrés dans la tradition.

Les commissions encouragent les artistes à exposer collectivement, à expérimenter de nouveaux lieux et à multiplier les rencontres.

C’est en perpétuant ces traditions que les artistes font vivre l’Art et permettent aux générations suivantes de s’exprimer.

C’est donc, un intérêt général qui motive avant tout l’Artiste à rejoindre une foire ou une exposition grand public, cette action complétant les expositions personnelles qui se font en galerie.

ainsi, j’ai suivi la ligne générale en m’intéressant à la fois aux galeries et aux salons professionnels, en essayant de trouver du sens à chaque décision.

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